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What Happened on the Moon ?

David Percy, 2000, 3h40, V.O. sous-titré

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L’Homme n’a jamais posé le pied sur la Lune, ou au moins les célèbres missions Apollo ne sont que des canulars : telle est la conclusion de ce documentaire complet de David Percy. L’analyse des documents officiels de la NASA, les nombreux témoignages et la prise en compte des nombreux aspects du problème montrent de façon accablante que ce fait incroyable est bien établit : les missions Apollo ont été entièrement truquées à des fins de propagande.
La longueur des ombres des astronautes varie comme sous un éclairage artificiel

Les moteurs F1 de Saturn V
Dans la Partie 1, l’analyse minutieuse des photos et des films officiels montre de nombreuses incohérences et anomalies dans l’éclairage des scènes et dans la continuité des actions, ainsi que l’utilisation de décors et les preuves de trucage des images de la NASA.

La Partie 2 se penche sur les dangers liés aux radiations, et la façon dont la NASA a simplement ignoré le problème. Ce qui expliquerait pourquoi les seuls vaisseaux habités ayant soi-disant quitté l’orbite basse terrestre restent jusqu’à aujourd’hui les seuls modules des missions Apollo.
La Partie 3 s’intéresse à la technologie des fusées, depuis son origine jusqu’aux dernières innovations de ce début du XXIème siècle, et montre à quel point la réalité est loin de permettre l’accomplissement de la performance clamée par la NASA. Les Soviétiques, bien plus avancés dans les technologies des fusées, n’ont jamais envoyé d’homme sur la Lune, et cet exploit semble actuellement impossible à accomplir avant de nombreuses décennies.
Bill Kaysing clame depuis 1970 qu'Apollo est une escroquerie

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Loose Change 2nd Edition

Dylan Avery, 2006, 1h21, version française
diffusée sur Planète en septembre 2006

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Ce documentaire rejette la théorie officielle des attaques terroristes expliquant les attentats du 11 septembre 2001, et avance la thèse de l’organisation de ces événements par les pouvoirs américains : les tours du World Trade Center ont été dynamitées, le Pentagone n'a pas reçu l'impact d'un Boeing mais vraisemblablement d'un missile américain, et le gouvernement a activement masqué la vérité.
Montage montrant un Boeing devant le Pentagone

Les tours s'effondrent à la vitesse de la chute libre
Les éléments les plus accablants sont exposés : la Tour Sud, 110 étages, dont la structure d’acier de 200.000 tonnes s’élevant à 415 mètres, s’effondre en dix secondes : autant que mettrait un objet en chute libre pour tomber de cette hauteur. Les trois tours qui sont tombées ce jour là (WTC1, WTC2 et WTC7) seraient les seules dans l’Histoire à s’être effondrées à cause d’un incendie. Larry Silverstein, devenu acquéreur des tours WTC1 et WTC2 six semaines avant le 11 septembre, et déjà propriétaire du WTC7, a déclaré 15 jours plus tard que la tour du WTC7 avait été dynamitée, car elle était trop endommagée par le feu, or il faut plusieurs semaines pour placer les explosifs, et non quelques heures.
Les témoignages d’explosions, les signes d’explosifs sur les vidéos et les décombres, les incohérences du crash sur le Pentagone, la destruction de preuves à grande échelle, les incohérences dans le système de défense américain ce jour là, les intérêts pour les dirigeants que se produise un nouveau Pearl Harbor, comme cela avait été écrit noir sur blanc un an auparavant dans le texte du Projet pour le Nouveau Siècle Américain (PNAC), les avantages qu’a tirée l’administration américaine des attentats pour imposer des mesures comme le Patriot Act, pour aller faire la guerre en Afghanistan, en Irak... Tout semble montrer que ces attaques ont été organisées par les Etats-Unis, dans leur intérêt.
Des signes d'explosions sont clairement visibles

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Oil, Smoke and Mirrors

Ronan Doyle, 2006, 0h50, V.O. sous-titré

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Le pic pétrolier est une réalité : les réserves naturelles ne sont pas infinies, et quand plus de la moitié des réserves sera extraite il ne sera plus possible d’augmenter le débit d’extraction. La production mondiale de pétrole ira en décroissant jusqu’à l’épuisement total, comme cela se produit pour la production d’un seul puit de pétrole. Si la production mondiale ne peut plus augmenter pour satisfaire la demande qui croît continuellement depuis des décennies, le pic pétrolier se produit : jusque-là bon marché et disponible en grande quantité, le pétrole devient de plus en plus cher et rare.
Le volume des nouveaux gisements pétroliers découverts décroît depuis une trentaine d'années

Les bases américaines installées au Moyen-Orient encadrent les régions pétrolifères
Or la quasi-totalité des biens produits et des transports dépendent fortement du pétrole, et notre économie est basée sur l’expansion continue des marchés et des flux d’argents. Parce que cette expansion est permise par un pétrole à bas prix toujours plus disponible, le pic pétrolier aura pour conséquence la transformation radicale de l’économie mondiale et du mode de vie occidental moderne.

Le 11 septembre a permis aux Etats-Unis d’envahir deux pays producteurs de pétrole et de placer des bases militaires dans les deux régions pétrolifères les plus importantes de la planète. Le terrible attentat préparé de l’intérieur a servi de prétexte aux Etats-Unis pour augmenter leur puissance militaire et prendre le contrôle de la distribution d’une grosse partie du pétrole mondial restant.
La fabrication de l’épouvantail Al-Qaïda, qui a servi à justifier les agressions militaires et est sensé masquer cette appropriation des stocks pétroliers, permet aussi de lutter sans restriction contre les opposants et les mouvements sociaux. En effet, ceux qui combattent les invasions militaires illégales ou la politique américaine sont qualifiés de "terroristes", et considérés comme affiliés au réseau terroriste international qui "en veut au style de vie et aux valeurs de l'Occident". Ils peuvent alors être enfermés illégalement et torturés sans pitié au nom de la "liberté" et de la "guerre contre le terrorisme". Par la destruction des droits et des libertés des citoyens, par la collusion de l’armée et des forces de l’ordre public et l’augmentation fulgurante des moyens technologiques de surveillance et de répression, un état policier est en train de s’établir sous nos yeux aux Etats-Unis.
Webster Tarpley expose la tactique britannique du contre-gang utilisée pour créer Al-Qaïda

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L’affaire Clearstream racontée à un ouvrier de chez Daewoo

Lundi Investigation, Denis Robert et Pascal Lorent, 2003, 1h05

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Ce reportage tente de mettre en lumière la machine Clearstream, cette "lessiveuse idéale" pour tous les mouvements colossaux d’argent qui doivent rester discrets. Créée en 1971 sous le nom de CEDEL, cette banque réservée aux banquiers a pour clients les principales banques du monde, qui siègent aussi à son conseil d’administration, et sont actionnaires ou créanciers des multinationales. En 2000, il y a eu dans cette société 145 millions de transactions, et les valeurs déposées s’élevaient à 9 trillions d’euros (9000 milliards).

Ernest Backes a participé à la création de Clearstream dans les années 70

Le système de comptes non publiés permet de dissimuler les flux de valeurs et de garantir des prêts et des emprunts
Mais de nombreuses sociétés, officines et multinationales, dont Daewoo, sont aussi enregistrées chez Clearstream. De plus le système informatique, d’après ceux qui ont pris part à sa création, permet de masquer l’identité de certains comptes et d’effacer certaines transactions. Le blanchiment d’argent sale et les transferts de fonds occultes sont donc garantis par cette gigantesque chambre de compensation financière, sur laquelle repose l’économie internationale.
Le contrôle des multinationales échappe progressivement à ses dirigeants et ses actionnaires. Passant d’une logique industrielle à la logique financière, les licenciements et fermetures d’usines servent à augmenter la part des investissements purement financiers. Daewoo licencie pour pouvoir acheter des titres, parce qu’ils sont plus rentables que des ouvriers. Cette logique du sacrifice des valeurs humaines sur l’autel du bénéfice semble généralisée par l’implication de nombreuses banques privées et d’Etats, d’entreprises et de réseaux de financement du terrorisme. La spoliation et le mépris de tous au profit de quelques-uns semble une chose bien établie et promise à un bel avenir.

Jean-Claude Trichet, gouverneur de la Banque de France puis président de la Banque Centrale Européenne

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Quand le FMI fabrique la misère

Lundi Investigation, reportage 'Profits of Doom'
John Kampfner, novembre 2001, 0h46

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Ce reportage montre comment le FMI asservit les pays en développement par le capital tout-puissant. Sous prétexte de leur prêter de l’argent pour les aider, le FMI endette ces pays pour introduire les industries étrangères, et maximise les profits pour attirer les investisseurs.
Peter Harrold, directeur régional au Ghana de la Banque Mondiale

Les directives du FMI ont rendu l'eau payante
Au Ghana, l’eau tirée des puits est devenue payante, les patients sont maintenant gardés à l’hôpital jusqu’à ce qu’ils puissent payer, l’ingérence économique a orienté la production agricole vers l’exportation, et le pays importe maintenant du riz d’Amérique alors qu’il en était exportateur.
Les ressources aurifères et naturelles du pays sont volées par la violence, la misère est exploitée et intensifiée pour générer du profit ("le prix de l’eau a doublé pour attirer les investisseurs"). C’est ce qu’a apporté la politique du FMI, justifiée par la carotte du american way of life et supportée par admiration de la grande Patrie de la Liberté meurtrie par les soi-disant attentats du 11 septembre.
A cause du FMI les ghanéens doivent importer du riz américain

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Une journée dans la vie d’un pneu

Richard Puech et Alexi Mital, 2001, 1h13

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Le commerce du caoutchouc semble être la caricature ultime de ce qu’est devenu le commerce industriel : les petits producteurs sont victimes de la concurrence, les "gagnants" de cette concurrence voient la valeur de leur production scandaleusement sous-estimée (en Malaisie un kilo de caoutchouc brut vaut le prix d’une tasse de thé…) par les grands fabricants de pneus qui achètent tous au même moment la totalité du stock mondial au prix qu’ils ont fixé entre eux, tout cela pour au final générer un milliard de vieux pneus chaque année…
Les producteurs de caoutchouc récoltent la sève à la main

Un actionnaire réclame plus de dividende au PDG de Michelin
Ce documentaire montre aussi clairement l’intrication ultime de cette économie du gâchis et du vol dans la vie sociale : les fonds de pension et les actionnaires, utilisant l’épargne et les cotisations des particuliers, mettent la pression sur les producteurs de pneus pour augmenter le dividende de leurs investissements afin de financer les retraites privées et les rentiers.
Ces producteurs de pneus tirent donc sur le prix du caoutchouc brut tout en augmentant la production, afin de maximiser le profit qui fournira retraites et pensions aux particuliers, qui sont au final les consommateurs de pneus. Dans cette perspective, tout un chacun est un peu en même temps le bourreau, la victime, et l’instrument de cette industrie du pneu.
Un milliard de vieux pneus sont générés chaque année

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Fallujah, le Massacre Caché

Sigfrido Ranucci, novembre 2005, 0h27, V.O. sous-titré

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Au début du mois de novembre 2004, l’armée américaine a lancé l’opération Phantom Fury (Fureur Fantôme) sur la ville de Falloujah, afin de prendre contrôle de la ville et de capturer Abu Musab Al-Zarqawi. La bataille fait plusieurs milliers de morts irakiens dont un bon nombre de civils, de femmes et d’enfants, mais Al-Zarqawi reste introuvable.
Le phosphore blanc peut ronger la chair jusqu'à l'os et laisse les vêtements intacts

Mohammed Tareq Al-Deraji apporte les preuves de ce massacre aux députés européens
L’armée a largué sur cette ville des armes incendiaires, vraisemblablement des bombes MK-77 qui sont les successeurs du napalm, et du phosphore blanc qui provoque des blessures épouvantables et une mort atroce. Mohammed Tareq Al-Deraji, directeur du Centre d’Etudes des Droits de l’Homme de Falloujah, est venu témoigner devant des députés européens et a apporté des photos de victimes montrant l’utilisation de telles armes de destruction massive. Deux soldats américains ayant participé à cette opération apportent leur témoignage et confirment l’utilisation de telles armes sur des populations civiles de façon non discriminée.
Les Conventions de l’ONU de 1983 ont banni le napalm et le phosphore, et leur utilisation est depuis considérée comme un crime de guerre. Mais le massacre de masse qui a eu lieu à Falloujah n’est pas la seule preuve de violation des droits et conventions internationaux par l’armée américaine, les profanations, violations et destructions de lieu saints et de monuments historiques de l’ancienne Babylone sont décrits par les soldats comme une pratique courante. Après 20 ans d’exercice de ses fonctions, l’ancienne parlementaire britannique Alice Mahon a démissionné et s’est battue pour faire éclater la vérité et arrêter le massacre, mais pour l’instant cela n’a pas eu beaucoup d’effet et en tout cas cela n’a pas empêché la réutilisation de telles armes chimiques sur les populations.
Jeff Englehart, qui a participé à l'opération Phantom Fury, témoigne

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Star Wars en Irak

Maurizio Torrealta et Sigfrido Ranucci,
mai 2006, 0h25, V.O. sous-titré

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Un bus irakien arrive à l'hôpital de Hilla, à 100 km de Baghdad, il contient de nombreux corps atrocement mutilés. Il n’y a pas eu de bruit, pas d’explosions, pas de projectiles, pas d’impacts, et des dizaines de passagers ont été amputés et mutilés d’un seul coup. Comme découpés par un laser surpuissant.
Saad al Falluji, chirurgien en chef à l'hôpital de Hilla, n'a jamais vu de telles blessures

L'ex-colonel John B. Alexander parle avec enthousiasme du système ADS qui "fait mal, très mal !"
Les armes a énergie dirigée sont une réalité : Laser Tactique à Haute Energie (THEL), Système de Défense Actif (ADS) utilisant des micro-ondes à haute puissance, ces armes sont déployées et testées par l’armée américaine en Irak et en Afghanistan. Les recherches sur ces armes technologiques terrifiantes sont admises, mais leur utilisation n’est pas reconnue officiellement. Pourtant de nombreux témoins, documents et rapports montrent que plusieurs lasers THEL et systèmes ADS sont en place au Moyen-Orient.
La recherche sur les armes non létales, lasers aveuglants, micro-ondes douloureux, armes sonores incapacitant ou rendant malade la cible, est présentée comme un progrès permettant de sauver des vies. Mais ces recherches produisent des moyens de torturer et de tuer sans que la cible ne s’en rende compte, ni ne puisse se protéger ou se défendre. Le système ADS est officieusement envisagé pour la sécurité publique et le contrôle des foules aux Etats-Unis, en prévision des troubles sociaux importants auxquels semble se préparer la classe dirigeante américaine.
Simulation montrant le système ADS utilisé contre une manifestation en milieu urbain

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L’Empire de la Honte

Jean Ziegler sur TV5, mars 2005, 0h11

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Lors de cette interview, Jean Ziegler présente son dernier livre intitulé "L’Empire de la Honte ».

Nous vivons dans l’abondance, et l’utopie de 1789 du bonheur pour tous est devenue possible. Mais il est en train de se produire une reféodalisation du Monde : la captation de l’abondance des richesses au profit de quelques-uns par l'asservissement de peuples entiers est rendue possible par l’action économique, financière, politique et militaire des grandes puissances de l'Occident.

Professeur de sociologie à l'université de Genève, Jean Ziegler a été le premier dirigeant de la communauté d'Emmaüs genevoise. Conseiller municipal socialiste de la ville de Genève de 1963 à 1967, il est conseiller national de 1967 à 1983 et de 1987 à 1999. Ses prises de position et sa volonté d'informer sur des sujets sensibles lui ont valu de nombreuses critiques, ses écrits lui ont même occasionné des procès.

Jean Ziegler est aussi rapporteur spécial de la commission des Droits de l'Homme de l'ONU pour le droit à l'alimentation.

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